sábado, 27 de febrero de 2010

En lo ajeno está lo propio, o solo me apropie de un rompecabezas que armé como quise.





Quoi, c' est tout ce que tu dis?
Putain, qu'est-ce qui te prend?
Tu sais quoi? Quand j' étais petit, je voyais les nuages bouger dan le ciel et je pensais que c'était le monde qui tournait.

Qu' est-ce que tu en penses? Hein?
- Non, non et non.

Hein?

Tranquille, mon amour, tranquille.

Tu ne peux pas me donner de nouvelles pour me dire que tout va bien?

- Salut mon amour, allons dans la chambre.
- Je ne me sens pas bien.
- Allons-y, mon amour.
- Il est parti.
Il m' a dit qu'il n' en avait quelque chose d' important à faire. Il m' a demandé de prende soin de toi.
-Je dois y aller.
- Il a dit qu' il n´en avait pas pour longtemps.
Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi?
Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi?
Je l' aide, il m' aide.
Parfois, parfois.
Merde, qu' est-ce qu' il en sait, lui? Tu sais quoi? Ce ne serait pas mieux que l' on parle un moment?
Comme tu veux.
NON, NON, NON ET NON!
Fais un voeu.
- D'accord.

"Pido que la lluvia de mañana sirva de algo hoy", eso respondí.